Travail dominical chez Bricorama : ces journalistes au chevet d'un délinquant multirécidiviste
Lu sur Tout est politique : "Les patrons ont compris. Ça paye plutôt bien de chialer à longueur de journée. Après
un cadeau fiscal de 20 milliards, la réédition sans condition du gouvernement
aux fariboles du "manque de compétitivité" ou l'à-plat-ventrisme express de Bercy face à
trois pigeons en ligne,
pourquoi s’arrêteraient-ils en si bon chemin ? Dans un climat aussi porteur, la bataille idéologique pour le dynamitage du droit du travail se doit de continuer ! Next stop,
le travail le dimanche.
A ce titre,
la real-tragédie se jouant à guichet ouvert sur nos écrans autour de l'enseigne Bricorama est un petit bijou de 'com. Mêlant
patron en pleurs, une poignée de
salariés manipulés ne
voyant pas plus loin que le bout de leur nez et des journalistes
chausse-pied trop contents d'en faire les martyrs de l'oppression
syndicale, les péripéties salario-lacrymales du groupe à 25 millions
d'euros de bénéfices l'an passé n'ont rien à envier aux épisodes les
plus racoleurs du
Jour où tout a basculé.
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