Lu sur
la Dépèche : "Joan Celsis devra encore attendre de longs mois pour savoir s'il
connaîtra un jour l'identité du policier qui lui a crevé un œil d'une
balle de flash-ball le 19 mars 2009 à la fin d'une manifestation
étudiante, rue Alsace à Toulouse. Dans un arrêt rendu jeudi 14 mars la
chambre de l'instruction de la cour d'appel de Toulouse a en effet
confirmé l'ordonnance de non-lieu prise par le juge au bénéfice des
quatre policiers auteurs de plusieurs tirs de flash-ball en direction
des manifestants au moment où Joan Celsis a été blessé
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