Lu sur
Le nouvel Afrique Asie : "Le 6 novembre dernier, le pouvoir ivoirien avait décidé d’en découdre militairement avec les rebelles en engageant une “offensive finale” contre leurs positions dans le Nord du pays. Le bombardement du cantonnement français à Bouaké – bavure pour les uns, acte délibéré pour les autres – aura mis fin à cette équipée et introduit un nouvel épisode dans la crise ivoirienne. Un tournant historique s’opère dans les relations franco-ivoiriennes, révélant un peu plus toutes les erreurs d’appréciation accumulées par la communauté internationale vis-à-vis de la Côte-d’Ivoire depuis deux ans.
Lire la suite
ici