Quotidien anarchiste individualiste
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Sur le suicide
J'aurais bien partager un dessin réalisé à l'encre sur le sujet mais ne sais pas par où commencer. Depuis 40 ans, j'entends parler de suicide à la maison, en cour de récré… les amis d'amis qui n'a pas son suicidé dans le placard? Est-ce le travail…? où la raison obscur d'une auto destruction avancée ; une décomposition traduite à travers une progression. Quelles marges à l'action?
Mois j'préfère dessiner et même là comment ne pas blesser où contrarier?
Le travail est une bonne raison? C'est une expérience, d'ailleurs un
être émancipé devrait avoir le pouvoir d'y renoncer. Et là même la
solution… : collective ou individuelle?
Parfois je revois des visages, des figures.
Je ne sais toujours pas comment partager mon dessein
Cela peut toujours être pire !
Là aussi y'aurais de quoi dire
J'ai à côté un liaison sociales n° 86, référence pour DRH de novembre
2007 sur la violence au travail. C'est pas du neuf,… pour d'autre c'est
plus simple de mourir en exil sur le chemin des migrations. Il y aura
toujours de bons sujets d'informations, lesquelles remontent à la
surface de temps en temps, servent aussi d'exemple, d'argument et de
référence au passage d'une crise comme on en trouve à tous les échelons
sur les contradictions. Au Japon, modèle économique dans les années 80,
féodalité de l'entreprise organisée selon une hiérarchie qui demande
soumission et dévouement des subalternes, le suicide est un honneur
pour le vassal qui à faillit. On parle des victimes du travail, mais
les victimes du capital agonisant restent parfois en vie, détruites.
Les pertes sèche pour l'humanité d'un fils crucifié ou le calcul
probant, très malthussien d'une minorité (il faut le dire) de
profiteurs et d'assassins. C'est peut-être ça le travail, à travers la
mutation de l'outil, l'homme en tant que tel doit s'adapter. Le prix
d'un ouvrier avec plus de 2 millions de chômeurs en France est devenue
bien plus difficile à négocier.
Rejeter le crédit sur quelqu'un est une solution mais le terrain est glissant.
Comme le chantait Jacques Brel : "Au suivant…"
Ben en attendant mon dessin restera dans un coin