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Simon Leys est mort. Hommage

Lu sur le blog de Floréal : « Le mystère qui planait sur la Révolution culturelle commence à se dissiper. Jusqu’à ces dernières années, nous ne connaissions de ces convulsions que ce que nous en avaient conté des auteurs, telle Maria Antonietta Macciocchi, qui n’avaient vu la Chine de Mao qu’en surface et qui, conduits par le bout du nez au cours d’un voyage éclair, nous brodaient une Chine de fantaisie où leurs espoirs déçus par le marxisme officialisé à Moscou se mêlaient à leurs espoirs de voir enfin se développer un communisme qui ne fût pas une caricature de leur conviction révolutionnaire. Ou encore ce que nous en disaient des feuilles publiées par de jeunes sorbonnards qui, las de brandir le Petit Livre rouge, reposaient leur bras fatigué en écrivant n’importe quoi, suivant une tradition bien établie au quartier des écoles et qui remonte au haut Moyen Age. »
Maurice Joyeux
« La Chine de Mao Tsé-Toung et de la Révolution culturelle »
(La Rue n° 19, premier trimestre 1975)

7605145Pierre Ryckmans, plus connu sous le pseudonyme de Simon Leys, s’était fait connaître en 1971 avec la publication de son livre Les Habits neufs du président Mao, le premier d’une série d’ouvrages consacrés à la Chine maoïste, dans lesquels il révélait la sombre réalité de cette autre imposture communiste et rendait à jamais ridicules les élucubrations d’un certain nombre d’intellectuels occidentaux sous hypnose marxienne.
Dans son livre L’Humeur, l’honneur, l’horreur*, Simon Leys consacrait un chapitre, « La malédiction de l’homme qui pouvait apercevoir les petits poissons au fond de l’océan », à cet aveuglement de personnalités investies d’une autorité intellectuelle et morale qui se révèle, au bout du compte, n’être qu’une sinistre supercherie.
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Ecrit par libertad, à 20:26 dans la rubrique "Actualité".



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