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Mondialisme.org : "Nous n’éprouvons, est-il besoin de le dire, aucune fascination pour l’arrivisme de Nicolas Sarkozy et ses « succès » obtenus à coups de trahisons, de bluff, de coups médiatiques et de mensonges éhontés. Sans compter son copinage avec la bande à Pasqua (responsable des milices gaullistes du SAC et membre important des juteux réseaux de la FrançAfrique), les patrons des médias, les gérants des gros groupes industriels et des grandes banques. Quant à sa « pensée », elle est indigente, faite de bric et de broc, d’emprunts incohérents et de phrases toutes faites dignes de l’Almanach Vermot. Néanmoins, dans le cadre d’un dossier consacré à ce personnage, il nous faut quand même offrir un minimum d’informations sur l’individu lui-même, données qui permettent de comprendre - en partie - son ascension politique. (Ni patrie ni frontières)
Contrairement à la légende tissée par d’innombrables journalistes complaisants, Sarkozy a bénéficié d’une enfance dorée, même si ses parents ont divorcé quand le pitchoune avait cinq ans. Ce qui est le cas de la moitié des familles aujourd’hui n’était pas un phénomène fréquent dans les années 60 (Sarkozy est né en 1955) - et surtout au sein de la bourgeoisie catholique. Nicolas-le-Petit a d’abord habité au premier étage de l’hôtel particulier de son grand-père (chirurgien), dans le XVIIe arrondissement, avec jardin et domestiques à sa disposition, puis dans l’appartement acheté par sa mère avocate (elle a dû reprendre ses études pour faire bouillir la - grosse - marmite dorée et assurer son indépendance financière). Ses trois frères ont tous réussi des études supérieures et intégré la bourgeoisie, même si pendant leur vie d’étudiants ils ont dû faire des petits boulots pour avoir un peu d’argent de poche supplémentaire (le Petit Nicolas a bossé dans une pizzeria et chez un fleuriste).
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