Joueb.com
Envie de créer un weblog ?
Soutenez le Secours populaire
ViaBloga
Le nec plus ultra pour créer un site web.
Débarrassez vous de cette publicité : participez ! :O)

L'En Dehors


Quotidien anarchiste individualiste





Crée le 18 mai 2002

Pour nous contacter : endehors(a)no-log.org



D'où venons-nous ?


Nos références
( archives par thèmes )


Vous pouvez nous soutenir en commandant nos brochures :

Les éditions de L'En Dehors



Index des rubriques

Les collaborateurs et collaboratrices de l'En Dehors

Liens

A noter

Recherche

Archive : tous les articles

Session
Nom d'utilisateur
Mot de passe

Mot de passe oublié ?

Salaire moyen d'un grand patron français : 383.000 €/mois
Lu sur Actu chômage : "... Soit 310 mois de Smic ! Tel est le résultat d'une l'enquête du magazine Capital à paraître demain, effectuée sur les 50 patrons français les mieux payés en 2007.

Salaire moyen qui a, d'ailleurs, augmenté de 20% par rapport à 2006 : une «revalorisation» sans commune mesure avec les misérables augmentations concédées aux salariés sur la même période. Et c'est là qu'on mesure de quel «pouvoir d'achat» Nicolas Sarkozy est le président...

Le deuxième du classement, Pierre Verluca, patron de Vallourec, est un cas d'école. Sa rémunération a bondi de 32% à 12,4 millions d’euros «alors que le profit de sa société augmentait d’à peine 8%», note le magazine. Et quand les actionnaires ont été servis (environ 15%), que reste-t-il pour les salariés ? Qu'on n'aille pas nous dire qu'il n'y a pas d'argent en France : la fortune de certains se constitue toujours au détriment de la qualité de vie d'une majorité d'autres.

Le jackpot du patron actionnaire

Le palmarès de Capital prend en compte les salaires, les avantages en nature et les plus-value sur les stocks-options. Selon le magazine, le cru 2007 pourrait être «le dernier jackpot avant le krach». Car «l’effondrement des cours de Bourse aura un gros impact sur les levées de stocks-options, moins juteuses voire carrément impossibles», affirme-t-il en expliquant que les rémunérations de base de ces grands patrons, déjà astronomiques, restent largement inférieures aux revenus que certains ont tiré de leurs propres actions en Bourse. Ainsi, Bernard Arnault a touché 4,1 millions d’euros de salaire comme Pdg de LVMH : «une goutte d’eau» en comparaison des 376 millions d’euros engrangés par le biais des dividendes qu'il a perçus en tant qu'actionnaire principal de son groupe de luxe.
Ecrit par libertad, à 22:40 dans la rubrique "Actualité".



Modèle de mise en page par Milouse - Version  XML   atom