Lu sur
Global Voices : "Amnesty International
a lancé une campagne d'envoi de sms [en anglais] pour demander la remise en liberté des trois membres du groupe de rock punk
Pussy Riot. Les jeunes femmes — Nadejda, Maria et Ekaterina — ont été mises en détention provisoire après
avoir exécuté un morceau anti-Poutine dans une église de Moscou [vidéo] en février dernier. Un
communiqué sur leur blog
[en russe] a indiqué qu'une source anonyme de l'administration
présidentielle avait confirmé leur libération à toutes trois le 9
juillet. Il n'en a rien été : elles
restent en prison [en
russe] après le refus du tribunal de prendre en considération une
lettre en leur faveur. Amnesty les considère comme des “prisonnières de
conscience.”