L'En Dehors

En effet, la loi (decret 1-150-2002 effectif 11/09/2002 ) stipule qu'il est interdit de laisser moins que le RMI, aussi misérable soit-il, defini comme étant le "minimum à vivre".

Nous nous indignons du fait qu'aucun verrouillage (informatique ou autre) n'existe afin de garantir le respect des droits des chomeurs et des plus démuni, acquis par les luttes.

Notre camarade avait déjà essayé seul de faire valoir ses droits dans cette meme agence. Il avait poliment été éconduit sans plus d'information. C'est pourquoi nous sommes revenus un peu plus nombreux. Nous avons dés lors été reçus, par le directeur de l'agence, malgrés la fermeture provisoire de l'agence par les pandorres (flics) grimaçants, l'injustice a été reconnue et l'engagement effectif de rétablir les droits au minimum vital à été effectué.

Cependant ces pratiques illégales persistent et sont généralisées nous persisteront dans nos actions de solidarité afin d'en finir avec ces injustices, si cela devait persister nous envisageons de donner une suite judiciaire pour contrer ces pratiques.

NON AU CAS PAR CAS, SEULE LA SOLIDARITE ET LA LUTTE COLLECTIVE PAYENT-

NE NOUS LAISSONS PAS FAIRE-