Lu sur
le blog de Floréal : "Nul ne doit se croire obligé de vénérer des totems. Le flot d’hommages
dégoulinant de tous les bords ne doit pas faire oublier que Jean Jaurès
savait lui aussi, de temps à autre, entonner l’air de la calomnie. Voici
comment il concluait son fameux discours à la Chambre, en juillet 1894,
à propos de ce qu’on a appelé les « lois scélérates » destinées à en
finir avec le mouvement anarchiste :
« … il faut que vous rendiez visible au pays, par un texte précis,
le lien de complicité morale et de pénalité qui doit exister entre le
politicien coupable et l’anarchiste révolté…
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