Lu sur
Libération : "La proposition de pénaliser les clients des prostituées laisse en
suspens une question capitale que l’on peine à évoquer. Que faire de la
demande de sexe vénal, que faire des désirs insatisfaits ? En bref, la
société ne doit-elle pas à ses membres non seulement une vie digne, un
emploi, une santé, la possibilité d’exprimer leurs idées et de profiter
des biens culturels mais aussi de satisfaire leurs désirs sexuels ?
Pourquoi, en substance, les misères économique, politique et culturelle
sont-elles tenues comme des maux appelant d’une manière légitime à y
trouver des remèdes mais pas la misère sexuelle ?
Lire la suite
ici