Lu sur
Planète sans visa : "Je ne tiens pas une forme olympique, aussi, malgré ma déjà longue
absence ici, je risque de ne pas faire des étincelles. Qu’on me pardonne
! L’affaire des biberons toxiques, que j’ai eu l’honneur de mettre au
jour (voir les articles publiés précédemment), est exemplaire à plus
d’un titre. Elle montre d’évidence que nous ne sommes que fictivement
protégés contre les innombrables abus d’une industrie devenue mortifère
per se,
c’est-à-dire en soi. Dépourvue de la moindre morale, tenue de vendre
quoi qu’il en coûte des objets de plus en plus souvent inutiles ou
rendus obsolètes à court terme, l’industrie de masse se confond
régulièrement avec le crime.
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