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L'En Dehors


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Parisot, ça prend deux « t » et un « e » à la fin ?
--> Tempête médiatique 9 du 1 au 6 avril 2006

La reine des buses frappe encore

Parisette aurait déclaré « que la jeunesse est une maladie dont on finit par guérir » (on emploiera le conditionnel, car la belle possède un tel recueil d’ana consacré aux expressions les plus niaises comme aux plus éculées qu’on va finir par croire que la vraie Parisot n’existe pas, que c’est un avatar, qu’il n’y a d’authentique que sa caricature).
Courtoisement, afin d’enrichir son petit cahier clos d’un ruban rose, à Laurence nous suggérerons que la vieillesse est aussi une maladie dont on finit par guérir, et plus radicalement que de la jeunesse.
La seule affection dont on ne se remet pas, c’est de cet entre deux âges où se trouve la présidente-potiche du Medef, quand la bêtise arrogante et sûre d’elle-même de la maturité intoxique tout le jugement, surtout quand on en possède intrinsèquement très peu.
Demandez-donc à Villepin ce qu’il en pense, il confirmera.

Ce Qu’il ne Fallait pas Démontrer

Jean-Louis Borloo, le camelot le plus représentatif de l’honorable profession de baratineurs professionnels que sont les avocats, s’est imprudemment flatté que le CNE aurait permis la création de 400 000 emplois depuis août de l’an passé (mazette ! et dire que je n’en connais aucun dans mon entourage !) dont 27% n’auraient pas vu le jour sans cette aubaine.
Même en lui faisant confiance les yeux fermés, si on suit bien la dialectique borlesque, ça fait tout de même 73% d’embauches, soit environ les trois-quarts, qui se seraient concrétisées de toute façon, CNE ou pas, et très probablement à meilleur compte pour l’embauché.
Bilan du bidule : 27% de salariés bien obligés d’être satisfaits, 100% de patrons tout à fait ravis et le Jean-Louis comme toujours hyper-content de soi.
Y a pas d’quoi.

Exit cepeum est

D. G. de V. a exprimé mardi 4 avril devant les députés son désir de « sortir au plus vite de la crise ».
Heureusement pour nous, le Premier ministre semble se préoccuper d’une crise que quelqu’un aurait créée dans le pays. Quelqu’un, mais qui ?
Le 6 avril, à l’occasion de sa conférence de presse mensuelle, le même D.G. de V. a désigné comme priorité immédiate de son gouvernement « l’apaisement » afin de « retrouver la sérénité et l’unité du pays ».
La réalisation de ce vœu émouvant sera très simple : mettre la main sur celui qui a plongé le pays dans la crise et obtenir de lui l’abrogation du CPE.
Mais, bon sang, de qui s’agit-il ?

L’ordinaire triomphant

On se demande parfois avec perplexité comment un type aussi ordinaire que Silvio Berlusconi, vulgarité de nouveau riche qu’il ne cessera jamais d’être, intelligence moyenne, culture médiocre, stature modeste, physique passe-partout, a pu rassembler entre ses mains autant d’argent et de pouvoir ?
Sans doute parce qu’il représente une sorte de portrait-robot de l’Italien moyen tel qu’il se conçoit lui-même, ainsi que l’interprétait naguère un Alberto Sordi : sans qualités particulières, mais convaincu qu’avec du culot et une moralité élastique -à la messe le matin et au bordel le soir- on peut tout obtenir, l’or, la gloire, l’autorité, les plus belles femmes.
Quant à l’Italienne moyenne, l’opulence, la puissance et le goût du personnage pour le bel canto lui font oublier qu’il ressemble trait pour trait à son cordonnier, dans le lit duquel elle n’a jamais rêvé de tomber.
L’un dans l’autre, Il Cavaliere, c’est l’Italien idéal dans lequel chacun-chacune trouve à se sublimer.
Maintenant, réfléchissons un peu : à qui pourrait bien ressembler un Berlusconi français (je vous aide : ce n’est ni François Hollande, ni Bernard Tapie) ?

De la poule au pot tous les dimanches

Depuis que le pays s’est chopé une infection massive au CPE, on ne parle plus ou presque de la grippe aviaire et du chikungunya. C’est ce que les psys appellent des bénéfices secondaires et les volaillers ou autres agents de voyages des bénéfices tout court.

Entrez sur la piste de danse

Sarkosy n’est pas un piège, mais un night-club : il y a toujours de la zique, de la lumière et le barman prêt à trinquer avec toi en discutant de tes petites misères pourvu que tu règles la bouteille.
C’est le même que Chirac avec vingt piges de moins, c’est dire si nous n’avons pas fini de régler des additions salées avant de nous réveiller avec la gueule de bois.

Mathias Delfe

Ecrit par MathiasDelfe, à 13:03 dans la rubrique "Actualité".



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