« On a été le cauchemar de Sarkozy. S’il le faut, on sera le tien. »
Lu sur
le Monde libertaire : "Lors de la campagne électorale présidentielle, les luttes contre les
fermetures de sites et les licenciements se sont fait entendre : les
Fralib, ceux d’Arcelor-Mittal ou les salariés de PSA venus manifester
devant le studio du débat Sarkozy-Hollande. Tous les candidats, quelles
ques soient leur obédience ont été invités ou se sont invités sur les
lieux où les médias les attendaient. Sarkozy et Besson ont, de leur
côté, fait jouer leurs relations, histoire de calmer les plus
revendicatifs. Pendant la campagne, donc, des plans sociaux ou des
procédures de fermeture de site ont été reportées ou annulées. Mais la
défense de l’emploi a été remarquablement absente de la campagne pour la
présidentielle, au-delà des grands discours de principe. Elle va
revenir au premier plan dans les semaines à venir même si d’autres
élections vont encore, n’en doutons pas, paralyser le combat social.
Pendant que les Arcelor-Mittal, PSA, Petroplus, la Fonderie du Poitou et
quelques autres étaient médiatiquement gérés, d’autres salariés
perdaient leurs emplois sans le moindre recours, dans des procédures de
ruptures conventionnelles ou lors de licenciements économiques.
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