Lu sur
le grand soir : "Une peur rétrospective, qui noue les gorges, est celle provoquée par l’OMS en annonçant en mars 2009 un fléau qui avait un scénario messianique de fin du monde, et qui est déclinée d’une façon macabre à tel point que l’on suivait au jour le jour le nombre de personnes atteintes qui se chiffraient en milliers. L’OMS se gardant bien de nous rassurer en nous donnant le nombre infime de morts par pays. Cette peur panique a encore été plus amplifiée en Algérie, par une gestion médiatique approximative, qui ne rassure pas, ce qui amène par voie de conséquence, un manque de confiance du citoyen dans les institutions, qui échafaude les pires scénarii. Pendant un mois - le mois de décembre-les citoyens lambda que nous sommes ne comprenaient pas l’ambivalence du discours catastrophiste à travers des spots qui ont tout fait, sauf nous rassurer et par la même, on nous annonce qu’il faut valider les vaccins. Résultat des courses : il a fallu la démission d’un responsable et un mois d’attente pour voir le 31 décembre, que l’on nous annonce que la vaccination a commencé. Rapidement on apprend qu’une personne médecin de Sétif est morte quelques jours après s’être fait vacciner.
Lire la suite
ici