Lu sur
Planète sans visa : "On connaît peut-être ces vers splendides de Verlaine, qui commencent par
« Ô triste, triste était mon âme ».
Son petit poème est somptueux, qui parle du chagrin d’amour, de la
perte d’une aimée. J’ai pensé à lui ce matin en écoutant notre pauvre
président de la République sur France Inter. Absurdement, je dois en
convenir. Car je n’ai jamais eu ni amour ni simple affection pour
François Hollande. Je le tiens pour un exceptionnel médiocre, et ses
mots dérisoires à la radio ne peuvent que renforcer un sentiment déjà
ancien.
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