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« Le #nucléaire c’est zéro CO2 [...]. Pas faux. Mais c’est faire peu de cas du risque d’accident et du cauchemar des déchets ultra-radioactifs ». https://t.co/aiEH2coJmj #Bure
— Jean Petit (@Tudigou) 12 novembre 2018
Commentaires :
Shevek |
Si : Faux ! Le nucléaire émet bien des gaz à effet de serre dès l'extraction de l'uranium...Extrait du site "Sortir du nucléaire Cornouaille" (membre de la Fédération anti-nucléaire de Bretagne https://fan-bretagne.org/)
"Nucléaire : mensonge sur le CO2 http://www.sortirdunucleairecornouaille.org/spip.php?article240 Le 10 octobre 2018 (...) Un des derniers mensonges utilisé est la diminution du taux de carbone. Mais est-il crédible quand on constate que l’industrie nucléaire est entièrement dépendante d’énergies d’origine fossile dont elle fait une grande consommation à tous les stades de son fonctionnement. Des centrales au fioul ou au gaz sont indispensables en Afrique sur les lieux d’extraction et en France pour gérer les pics de consommation. Enfin, charbon et pétrole assurent tous les transports sur mer et sur routes. Par ailleurs, tous les systèmes de sécurité et de secours reposent sur des groupes électrogènes. Et quand nos 58 réacteurs ne suffisent plus à fournir , E.D.F. fait appel à nos voisins qui nous fournissent à prix d’or de l’électricité d’origine fossile, ou tout simplement écologique et renouvelable. Si, en France, 70 pour cent de l’électricité (et non de la consommation totale de l’énergie), est produit par nos belles centrales, celles-ci sont de grandes auto-consommatrices dans le traitement du combustible et son conditionnement après usage, dans la perte dans les lignes à haute tension du fait d’une production centralisée et naturellement dans la construction et aussi dans le démantèlement de toutes les installations nucléaires. En y ajoutant le refroidissement des piscines qu’il faudra assurer durant des millénaires après le nucléaire, son bilan énergétique n’est pas meilleur que son bilan financier !" et Climat : le nucléaire hors sujet. Une menace à écarter d’urgence http://www.sortirdunucleairecornouaille.org/spip.php?article215 Le 17 février 2015 "Le lobby nucléaire (...) affirme que la filière n’émet pas de GES en fonctionnement. Mais la filière nucléaire émet des quantités non négligeables de GES, liées au cycle de vie des réacteurs (construction, démantèlement...) et de leur combustible (extraction, transport, retraitement...). L’extraction de l’uranium au Niger, alimentant les centrales nucléaires françaises, se fait grâce à des centrales à charbon fortement polluantes et prélève ainsi 85 % de l’électricité produite dans ce pays. (voir déclaration Bruno Chareyron de la CRIIRAD). Mais surtout, contrairement à d’autres technologies, le nucléaire ne permet pas de récupérer la chaleur dégagée lors de la production d’électricité. Il impose donc de produire de l’énergie supplémentaire pour nos besoins en chaleur. Produire électricité et chaleur en co-génération permet d’émettre 7 fois moins de gaz à effet de serre qu’un système énergétique nucléarisé ! D’autre part, pour un euro investi, l’efficacité énergétique et certaines énergies renouvelables sont jusqu’à 11 fois plus performantes que le nucléaire pour réduire les GES ! Le nucléaire est une technologie "hors sujet" et inefficace : 75 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre proviennent de secteurs sans aucun lien avec la production d’électricité, ou pour lesquels recourir à l’électricité est d’un rendement mauvais : agriculture, exploitation forestière, procédés industriels, transport, chauffage. Et n’oublions pas que le nucléaire représente moins de 2% de l’énergie consommée. Non seulement, le nucléaire est hors sujet dans la problématique du dérèglement climatique mais les catastrophes que le nucléaire provoque, posent des problèmes insoutenables, invivables (comme à Tchernobyl, Fukushima ) et elles risquent de se multiplier avec un parc vieillissant et des menaces de conflit avant même que le dérèglement climatique ne se fasse lourdement sentir. Il faut de toute urgence arrêter les 400 réacteurs encore en fonctionnement. Ce n’est pas une transition mais une révolution énergétique qu’il nous faut (...)." Répondre à ce commentaire
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à 00:40