Lu sur
CNT :
"Tous les jardins ne sont pas des endroits clos. Le Jardin solidaire, installé au fond de l’impasse Satan dans le XX
e
arrondissement de Paris, était un de ceux ouverts sur leur quartier,
sur leur monde. Un jardin sans maître-jardinier où les rudérales et
les plantes qu’ailleurs on dit parfois « mauvaises » avaient leur place.
Pendant cinq ans, avant sa fermeture pour cause de projet immobilier,
il fut un lieu autogéré, sans heures de fermeture et avec moins que
rien de règlement où chacun pouvait venir non seulement flâner mais
aussi planter comme bon lui semblait. C’était un lieu de liberté, de
mixité sociale et de vie.
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