Lu sur
Rue 89 : "Le fond du problème, en dehors des questions d’autorité et
d’amour-propre, n’est-il pas dans l’équation économico-financière à
laquelle est confronté l’Etat, pour avoir signé en 2010
une concession [PDF] doublée d’un partenariat public-privé (PPP) particulièrement favorable au concessionnaire Vinci ?
Pour un très grand nombre de nos concitoyens, dont je suis, le projet de
Notre-Dame-des-Landes
était, dès 2002, un projet qui ne se justifiait pas au regard des
besoins. La concertation qui s’est déroulée en 2003 a été incapable de
préciser s’il s’agissait de réaliser un nouvel aéroport pour Nantes, de
créer un grand aéroport de l’Ouest, ou encore s’il s’agissait d’un
troisième aéroport pour la région parisienne.
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