Lu sur
Basta ! : "Contrairement à ce qui est affirmé dans
Le Monde, ce qui a été
obtenu n’est absolument pas un moratoire, c’est-à-dire une suspension du
projet jusqu’à réexamen sur le fond, suivi d’une nouvelle procédure de
décision.
Ce n’est pas non plus le gel des expropriations et expulsions exigé par
les grévistes de la faim et leur comité de soutien : seulement la
garantie de l’État (par le biais des collectivités locales) et du
concessionnaire qu’il n’y aura pas d’expulsions pour les paysans,
propriétaires et habitants installés avant février 2008 (date de la
déclaration d’utilité publique) ayant refusé l’accord amiable avec
Vinci, jusqu’au rendu des recours déposés avant le 4 mai 2012 auprès des
juridictions françaises (hors tribunal administratif), les juridictions
européennes étant exclues.
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