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Commentaires :
HadLyner |
La cause des pèresJ’ai
mis ce commentaires sur un site de la « grande presse ». Je le mets sur mon site favori s’il y a sa place ( ?) : Ce
qu'on peut lire dans les médias à propos du mode de décision des juges
concernant la garde des enfants n'a STRICTEMENT rien à voir avec la réalité.
Ces individus vivent encore avec cette idée materniste rétrograde qui n'a plus
rien à voir avec la réalité de ce que sont père et mère dans la famille
aujourd’hui. Pour eux, la mère idéalisée ne peut être qu'un ange tombée du ciel
incapable de violence ou de perversion. Un père ne peut être qu’un pédophile ou
un violeur en puissance. Ceci est ancrée profondément dans leur inconscient, et
ils jugent avec ces a prioris. Les juges femmes par revanche, les juges hommes
par repentance. Le soit-disant « pédopsychiatre » qui a du s’occuper
de mon affaire a été très clair : « lorsqu’une séparation est
conflictuelle, il convient de confier les enfants à la mère » faisant
totalement abstraction du fait que le mère a clairement déclaré :
« je ne veux plus que les enfants voient leur père ». Opération
réussi puisque je n’ai pas revu ma fille depuis 12 ans. Mais réussi à moitié
puisque mes relations avec mon fils ont toujours été excellentes tout ce temps.
Les mères perverses reçoivent par principe, parce que ce sont les mères,
l’appui et la complicité des psy, des juges et de l’état. Les pères qui se
battent ne « rallume pas la guerre des sexes », il la subisse leur
vie entière. Bref, les hommes au
boulot, les femmes à la maison. Le "patriarcat" à de beaux jours devant
lui, d'autant plus que les gens qui se prétendent "progressistes"
hurlent avec les loups. Répondre à ce commentaire
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libertad 20-02-13
à 20:34 |
Re: La cause des pères
HadLyner ce texte ne met pas dos à dos agresseur et agressé, il part d'un point de vue antisexiste uniquement, dans ces affaires de divorce le syndrome d'aliénation parentale peut venir de la femme ou de l'homme ( même si cela semble moins fréquent mais peu importe ). Le point de vue antisexiste, seul progressiste est aujourd'hui quasi disparu, y compris chez les anarchistes qui s'alignent "officiellement" sur le point de vue victimiste féministe. En fait ce point de vue victimiste ( qui touche aussi le masculinisme ) est complètement réactionnaire car il défend le rôle des mères et ne prend pas en compte celui des femmes, comme si la seule dimension des femmes était d'être mères.
En effet le principal argument des féministes victimistes est de dire les hommes ne s'occupent pas des tâches ménagères et du soin des enfants (se basant sur les statistiques de l'INSEE, sur lesquelles les biais ne sont pas exempts) et au moment des séparations les hommes ne demanderaient pas la garde des enfants. Si cet argument était réel, les féministes qui sont censées être pour la libération des femmes ( y compris des tâches ménagères et de l'éducation des enfants) et leur autonomie devraient soutenir la revendication d'hommes demandant la garde partagée. En effet elles considéreraient qu'il n'est jamais trop tard pour bien faire et y verraient le moyen de plus de temps libre pour elles. Or il n'en est rien, au contraire, ce courant féministe déglingue la garde partagée, non pas au nom des femmes ( qui ont tout à y gagner ) mais des mères qui y perdraient du pouvoir sur les enfants et selon le principe qu'elles seraient plus capable de... Argument bien connu pour déconsidérer toute tentative de démarche vers plus d'égalité :" je suis plus compétente". C'est oublier que dans le couple parental on ne peut être juge et partie. Donc je considère que d'un point de vue antisexiste, les hommes ont entièrement tort de ne pas partager à égalité les tâches familiales dès le départ, cela leur donnerait une légitimité plus forte lors des séparations mais les femmes ont tort de refuser un partage plus égalitaire des gardes des enfants en oubliant qu'elles peuvent y gagner en autonomie et en temps pour elles, mais en acceptant de perdre une partie de leur pouvoir sur les enfants. Répondre à ce commentaire
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à 21:58