Nico Sarko Bush de Nagybocsa a été sacralisé chef des tas !
Porté par les campagnes et les personnes âgées, ce domestique du grand capital et de la haute finance est aujourd'hui libre d'escroquer le bien publique pour le livrer aux entreprises mafieuses de l'affairisme mondial. Il fait autorité en répression décomplexée, dans un marché sécuritaire qui spécule sur la misère et tire profit de la précarité des conditions d'existences.
En campagne permanente, l'État policier stalinien dissémine à grande
échelle sa propagande tapageuse, toxique, arrogante et provocatrice.
Les slogans rabâchés comme une pub sans fin, transforme le langage trop
incertain, en marchandise frelatée et si bien contrôlée.
La cérémonie funèbre achève sa représentation. L'info mégalo crie
victoire ! C'est alors que les pressions communicantes s'affairent à
liquider la mémoire, et que les bouffons du discours jouent aux gentils
animateurs. La population, rayée des listes des commissions, râle et
tire sur son sort. La réalité ainsi entreprise raffle les dividendes.
C'était écrit dans le programme.
La grenouille voulait se faire plus grosse qu'un boeuf. Mais les
chiffres qu'elle affectionne tout particulièrement, transpirent parfois
dans un coin, à l'ombre du décor.
Onze millions de tickets pour Nico Sarko Co reste malgré tout inférieur
au quart de la population de plus de 18 ans de ce pays, qui représente
environ 48 millions. Cette combine majoritaire à deux tours donne
toujours les pleins pouvoirs à une partie qui reste très minoritaire.
Ainsi la sarcomatose prolifère et affecte de ses tumeurs malignes la plupart des tissus conjonctifs.
Dopée de pub, la politique consume les rêves. Aujourd'hui
l'imbécillité, l'agressivité, l'exclusion et le mépris disloquent une
société en ruine, cassant les derniers liens d'une cohérence illusoire.
En expulsant le sale, les media nettoient une apparence qui doit rester
sans tache. La machine du spectacle engouffre dans ses flux numériques
ses sujets comme objets à exploiter, pour en tirer une propreté
juteuse. Alors, la marque des partis pris incorpore et normalise les
corps.
La réalité est affaire de foi.
Lukas Stella - http://inventin.lautre.net
à 00:25