Lu sur
Basta! : "Côte d’Ivoire, Éthiopie, Rwanda, Sénégal... La dette des pays les plus
pauvres attirent aujourd’hui les fonds d’investissement du Nord, à la
recherche de rendements plus intéressants qu’en Europe. Mais certains
titres de dette vendus sur les marchés financiers internationaux par les
pays africains
« sont liés à des contrats dont les clauses peuvent constituer de véritables bombes à retardement »,
alerte Eric Toussaint, porte-parole du Comité pour l’annulation de la
dette du tiers-monde (CADTM). Le risque : une nouvelle grande crise de
la dette, comme celle de 1982, qui a conduit les pays d’Afrique à
s’enfermer dans la spirale infernale des plans d’ajustement structurels
imposés par le FMI. Décryptage.
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