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Commentaires :
libertad |
L'utlisation politique des victimes
Cet article remet les pendules à l'heure et démontre que les campagnes médiatiques et non désintéressées du lobby féministe radical qui instrumentalise les femmes victimes de violences au sein du couple n'est qu'un gadget qui leur sert de marque mais qui n'est d'aucune utilité sociale pour les femmes victimes d'agressions et de meurtres. Comme l'explique l'article le nombre de femmes tuées par leur conjoint diminue d'année en année comme toutes les autres formes d'homicides et les campagnes médiatiques et les manifestations n'y sont pour rien. Ces campagnes ne servent qu'a justifier des subventions, à financer un lobby qui dépend des fonds de l'Etat pour sa survie. L'évolution sociale qui conduit à une diminution des homicides est même contre productif pour ce lobby qui évite bien de parler des chiffres réels mais rabâche les mêmes slogans : une femme est tuée tous les deux jours par son conjoint. 146 femmes ont été tuées en 2010, c'est trop, aucune disparition d'un être humain qu'il soit homme ou femme n'est acceptable, aucun crime ne l'est.
Mais il faut mesurer les causes réelles de ces drames pour tenter d'en diminuer le nombre par la prévention et ce n'est pas par des slogans sur la domination patriarcarcale que cette situation changera. Comme l'indique l'article, dans un cas sur deux ces homicides résultent de "la consommation d’alcool, de stupéfiants et/ou de médicaments psychotropes" Parmi les causes signalées : les maladies mentales, les maladies graves ou la fin de vie d'un des conjoints ( 30 % de retraités ). Instrumentaliser politiquement de tels drames est ignoble et ne peut résulter que d'une démarche sectaire. Les campagnes féministes sur ce sujet "oublient" également de souligner le facteur de la misère sociale ( 33% de chômeurs ou sans emploi dans ces affaires ) Quant au fait que ces homicides seraient la manifestation de la domination et de la puissance patriarcale, on se demande bien pourquoi 42 % des auteurs se suicident ou tentent de se suicider ensuite. Perdre sa propre vie n'est pas une manifestation de puissance ! Ces drames familiaux s'expliquent par la misère, l'alcool, la drogue, la maladie, en faire l'archétype de la domination patriarcale ne sert qu'à obtenir de meilleurs subventions et à entretenir un petit lobby, au détriment des femmes. Répondre à ce commentaire
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à 23:26