Le rendez-vous d'hier au Ministère de l'économie et des finances n'a rien donné, au contraire : les Lenoir et Mernier ont eu la confirmation que l'Etat ne donnerait pas un centime pour régler l'indemnité supra-légale de 50.000 euros réclamée pour le préjudice du licenciement à la suite des malversations de l'ancien employeur. La nomination d'un médiateur proposée la veille par la préfète à même été remise en cause par les représentants de l'Etat. Pour l'instant une seule promesse vague, la nomination d'un responsable de la "réindustrialisation" du site. Bilan totalement négatif. La rencontre avec des représentants de l'UIMM est encore envisageable, rappellons que les Lenoir et Mernier considèrent que les patrons sont collectivements responsable des fautes de l'un d'entre eux qui les prive de leur travail et réclament donc que ce syndicat patronal, habitué à fluidifier les relations sociales avec de l'argent en liquide, mette la main au portefeuil pour compenser le préjudice qu'ils ont subi ( la
caisse noire de l'UIMM leur premet largement de payer ).
Ce matin les Lenoir et Mernier barraient l'avenue d'Arches, l'une des principales artères de Charleville-Mézières.
Pour suivre la lutte des Lenoir et Mernier lire leur blog
lenoir ou le noir