Lu sur
OCL : "Il semblait que le monde était entré dans l’âge des
émeutes contre l’austérité. Et puis vint Istanbul. Qu’il n’y ait pas de
méprise, Istanbul ne peut pas être confondue avec Athènes, Barcelone,
Lisbonne ou New York. Ce qui se passe en Turquie est le côté pile de la
lutte anticapitaliste. C’est un soulèvement contre le développement.
C’est une bataille de la rue pour des villes qui appartiennent aux gens
et pas au capital. C’est une résistance contre un régime autoritaire
enhardi par un boom économique.
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