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"Oh ! en lui tendant plumes et micros complaisants, on sent bien que la presse de référence, du Monde à France Inter, tente de sauver le peu d’honneur qu’il reste au comédien-né qui incarna si bien -avec un charmant cabotinage qu’on ne demandait qu’à lui pardonner- le désintéressement dynamique et l’altruisme militant encensés, symboliquement au moins, au pays des Lumières.
Bernard Kouchner, c’était Daniel Cohn-Bendit en mieux : l’intellectuel « branché », le gars (pseudo)authentique, le franc-parler, une certaine gouaille même, avec en plus le sérieux du toubib.
Et puis, en épousant tardivement un Sarkozy qu’il conspuait encore la veille**, il a fait beaucoup de déçus, tous ceux qui pensaient naïvement qu’un humaniste, un soignant, un « combattant de la paix » ne pouvait être qu’un honnête homme.
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