Joueb.com
Envie de créer un weblog ?
ViaBloga
Le nec plus ultra pour créer un site web.
Débarrassez vous de cette publicité : participez ! :O)

L'En Dehors


Quotidien anarchiste individualiste





Crée le 18 mai 2002

Pour nous contacter : endehors(a)no-log.org



D'où venons-nous ?


Nos références
( archives par thèmes )


Vous pouvez nous soutenir en commandant nos brochures :

Les éditions de L'En Dehors



Index des rubriques

Les collaborateurs et collaboratrices de l'En Dehors

Liens

A noter

Recherche

Archive : tous les articles

Session
Nom d'utilisateur
Mot de passe

Mot de passe oublié ?

Le mouvement anarchiste à Lyon (1880-1884)

Lu sur Rebellyon : "Après l’écrasement des mouvements insurrectionnels qui s’affirmèrent avec force dans différentes villes en France – Paris, Lyon, Marseille, Narbonne, Toulouse, St.-Etienne, le Creusot [2] – après la chute du Second Empire (le 4 septembre 1870), la plupart des militants ouvriers en France, organisés dans l’Association Internationale des Travailleurs et/ou dans le parti blanquiste [3], dans les syndicats naissants (sous forme souvent de société de résistance et de solidarité), sont soit morts ou déportés au bagne en Nouvelle-Calédonie [4], soit sont partis en exil (Belgique, Suisse, Angleterre, principalement). C’est ainsi qu’il a fallu quelques années pour que de nouvelles forces surgissent et s’organisent.

Le moment le plus important de ce renouveau organisationnel est la tenue du troisième congrès ouvrier à Marseille le 23 octobre 1879 qui réunit aussi bien des représentants d’organisations ouvrières que des délégués de groupes socialistes. Ce congrès fait suite au congrès de Paris [5] (1876) et de Lyon (1878). La moyenne d’âge de ces militants est de 30 ans. Ceux-ci croient à la nécessité de la grève, rejettent le coopératisme et ressentent le besoin d’une organisation stable pour que les grèves soient de plus en plus fortes (celles-ci repartent, après une vague en 1875-76, en 1878 et culminent en 1880). Michelle Perrot dans son livre Les ouvriers en grève 1870-1890 [6] écrit : “partout des hommes jeunes, à la mentalité bien plus combative conduisent le mouvement. Ces hommes sont souvent les mêmes qui organisent les premiers cercles d’études sociales [7] envisagés au congrès de Marseille“.

Lire la suite ici

Ecrit par libertad, à 22:13 dans la rubrique "Histoire de l'anarchisme".



Modèle de mise en page par Milouse - Version  XML   atom