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Commentaires :
anar-diogene |
Le veganisme : un fascisme conditionné par la Cité, qui s'ignore...Le veganisme : un fascisme conditionné par la Cité, qui s'ignore... Il est toujours aussi paradoxale de constater cette volonté communément partagé par les vegans et toutes les idéologies conditionnés par les sociétés établis sur le modéle parasitaire de la Cité, de vouloir substituer au réel naturel, et à ses lois régissant son fragile équilibre, leurs propres réalité artificielle et leurs propres lois. la seule différence résidant dans le fait que l'ideologie vegan ne se s'est pas encore donnée les moyens techniques offerts par la Cité, pour imposer de force leurs propres réalité. Etant moi même végétarien depuis pas mal d'années, contrairement aux affirmations de cet article je n'ai strictement jamais eu à subir une quelconque végéphobie de la part de mon entourage majoritairement composé d'individus mangeurs de viandes, et je ne me considére pas non plus comme une victime persécuté par ces mêmes mangeurs de viande. Cela s'explique peut être par le fait que contrairement à certains vegans, je ne cherche pas à cacher un quelconque refus de la mort, derrière la dénonciation de tourments et de souffrances animales, principalements causés par une industrialisation de la vie résultant d'une volonté de puissance politique cherchant à se donner les moyens techniques de se substituer à la vie pour défier la mort. D'autres part si l'Homme est l'égale des autres animaux comme le proclamment certains vegans ainsi que l'auteur de cet article, il est donc totalement contradictoire de le forcer à se comporter d'une manière différente des autres animaux qu'ils soient herbivores ou carnivores. à moins que dans l'esprit de ces mêmes vegans , l'Homme ne soit finalement que l'égale des animaux herbivores ou fruitariens... Quant à la volonté de vouloir abolir toutes les différences au nom du droit à la "différence" (qui en réalité n'est qu'un droit à l'indifférence n'ayant rien à voir avec un quelconque respect des différences), elle correspond en tout point à la volonté de puissance politique qui grâce aux moyens techniques dont elle dispose aujourd'hui, vise également à établir les bases d'une société composé d'individus asexués et totalement privés de repères. Répondre à ce commentaire
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yvesbon 21-07-11
à 08:25 |
Re: Le veganisme : un fascisme conditionné par la Cité, qui s'ignore...C'est difficile de répondre à un tel commentaire. Simplement, concernant le fait de suivre ou non la Nature : je suis athée, et je n'ai pas à m'incliner d'aucune façon devant la Nature, pas plus que devant Dieu ou toute autre entité imaginaire représentant de façon fantasmatique la Puissance.
La "Nature" a pris la place de Dieu, dont ellle n'est qu'une laïcisation. Je suis pour ma part partisan de développer une éthique athée, qui ne se réfère plus à aucune puissance quelle qu'elle soit. Cf. la brochure "Pour en finir avec l'idée de Nature, et renouer avec l'éthique et la politique", qui constitue une introduction au sujet. yves Répondre à ce commentaire
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anar-diogene 22-07-11
à 19:03 |
la Nature est indissociable de l'Homme.Si tu dissocies la Nature de l'Homme, il s'agit effectivement d'une religion de substitution, qui à tout moment peut être instrumentalisé et détourné par la volonté de puissance à la fois incarné dans la Cité, mais également présente à titre individuel en chacun de nous. Me concernant, je part du principe que l'Homme est indissociable de la Nature, et comme il en fait partie intégrante il n'a donc pas à s'y soumettre mais seulement à la respecter au risque de ne pas se respecter lui même et ses semblables. Tu peux également établir le même raisonnement libertaire pour ce que certains nomment "Dieu", c'est à dire en dehors de tout raisonnement lié à la volonté de puissance et aux détournements que celle ci opère, pas seulement pour la religion mais également pour tout système de pensée, liés à des valeurs de partage égalitaire ou de solidarité. Au regard des multiples détournements historiques opérés par la volonté de puissance politique qu'elle soit institutionnalisé dans un Etat ou pas, il me semble que l'atheisme, qui en soit n'est rien d'autre qu'une forme de religiosité inversé dont l'immanence politique est le seul horizon de changement, demeure factuellement la pire des superstitions. Répondre à ce commentaire
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à 12:01