LA VIOLENCE FEMININE / PARTIE II CACHEZ CES CHIFFRES QUE JE NE SAURAIS VOIR ...
Lu sur La violence féminine : "Débutées dans l'indifférence et l'ostracisme au cours des années 80, les études américaines et canadiennes sur la violence conjugale féminine montrent aujourd'hui, une
réalité toute différente à celle qui prévaut encore aujourd'hui en
Europe. Sous l'accumulation des données, on constate que la violence n'a
pas de genre. Toute vérité commence par un blasphème.
Sensibilisée
à la question des violences faites aux femmes qui émergeait dans les
années 70, Erin Pizzey fut une pionnière. Dès 1971, elle fonda le
premier foyer d'hébergement pour femmes battues au Royaume-Uni. Très
rapidement, elle eut la surprise de constater que 62 des 100 premières
femmes hébergées étaient aussi violentes que les hommes qu'elles
venaient de quitter.
Cette
première impression, confortée par 40 années de pratique portant sur
plus de 5000 hébergements, n'aurait qu'une portée empirique si elle
n'avait été confirmée par les
271 études
recensées en 2009 par le professeur Martin Fiebert de l'Université de
Californie. Études réalisées pour beaucoup, au sein des plus
prestigieuses universités anglo saxonnes et plus récemment, par les
organismes statistiques gouvernementaux. Portant sur un panel total de
375 000 femmes et hommes interrogées dans de nombreux pays et cultures,
ces études, souvent construites selon la méthode stricte des CTS,
font émerger une vérité tout aussi dérangeante que jadis, le mouvement
des planètes à l'oreille d'un inquisiteur : si l'on doit admettre des
dommages physiques généralement plus graves pour les femmes, il n'en
subsiste pas moins qu'en couple, les femmes sont tout aussi violentes,
voire plus violentes, que les hommes. Explications et décryptage.
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