Lu sur
le blog de Floréal : "Il m’est arrivé d’écrire – un peu hâtivement, je le concède – qu’une
société profondément malade se reconnaît, entre autres, au nombre de
lois que ses tares suscitent. Il faut bien reconnaître, en vérité, que
légiférer sous le coup de l’émotion entraînée par certaines « affaires »
peut toutefois avoir du bon.
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