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Libération : "Il est temps d’ouvrir les yeux : les autorités qui se trouvent à la tête
de l’Europe incarnent un fascisme nouveau. Ce fascisme, ce n’est plus
celui, manifeste et assumé, qui a fait du XX
e siècle l’un des
grands siècles de la laideur politique ; il s’agit plutôt d’un fascisme
mou et retors, dissimulant ses intentions mauvaises derrière un langage
qui se voudrait de raison. Mais la raison que manifestent tous ceux
qui, aujourd’hui, se trouvent forcés de discuter avec le Premier
ministre grec, Aléxis Tsípras, est en réalité une raison délirante. Elle
l’est sur plusieurs plans.
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