La prostitution revendiquée (Marie L. Barret, Ephémère, vénale et légère)
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La littérature sous caféine :
"Dommage que la presse – et plus particulièrement la presse féminine – ne
se soit pas emparée du beau livre de Marie L. Barré, "Ephémère, vénale
et légère" (Plein jour, 2015) .Sans doute parce que le propos de la
prostituée qui prend du plaisir à son métier, du moins le considère
comme une activité comme un autre avec ses joies, ses servitudes, passe
difficilement à une époque où l’on considère la prostitution comme une
une activité dégradante – ce qui reste vrai la plupart du temps mais
peut malgré tout donner lieu à des destins singuliers quand il sont
assumés, et même recherchés.
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