Lu sur
Amitiés kurdes de Bretagne : "François Hollande, à peine descendu de l’avion qui l’a conduit à New York pour l’ouverture de la 70
e Assemblée générale de l’
ONU,
a livré ce scoop à la presse internationale : la France a bombardé et
détruit en totalité le 27 septembre un camp d’entraînement de l’État
islamique (
EI?) à
Deir ez-Zor,
dans l’est de la Syrie. C’est un véritable changement de pied, la
France concentrant jusqu’à lors ses efforts en Irak dans la lutte contre
les djihadistes du Moyen-Orient. Le premier ministre Manuel Valls a de
son côté précisé que ces frappes visent et viseront "ces sanctuaires de
Daesh où sont formés ceux qui s’en prennent à la France", l’un et
l’autre assurant que ces actions vont continuer. Officiellement la
France se détermine en fonction de son propre agenda, dont elle fixe
elle-même les priorités, comme l’avait déjà déclaré en décembre 2014 le
conseiller du Président recevant à l’Elysée
une délégation de la CNSK venue plaider la cause des Kurdes du Rojava
? (Kurdistan de Syrie) et demandant une intervention aérienne d’urgence.
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