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Libération : "C’est très moche de frapper sa femme ou son ex-femme. Ceux qui le font
n’ont pas de quoi en être fiers. Même si parfois les victimes sont
fascinées par ce qui leur arrive et restent auprès de l’homme qui les
bat comme si elles demandaient davantage de coups. La violence physique
en mode de communication dans les relations privées - et ceci dépasse
celle que les hommes exercent sur les femmes - peut avoir des effets
trop graves et irrévocables pour qu’une société «civilisée» n’essaie pas
de l’endiguer. Or, toute la question est de savoir comment s’y prendre.
Les politiques actuelles nous indiquent une seule solution : les
délations généralisées, les tribunaux, les prisons.
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