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La colère anarchiste

Lu sur Anarchisme et non violence 2 : "Oui, quand on propose à un anarchiste d’écrire sur la colère, sur la colère anarchiste, il est fort à parier qu’il va avancer sur un terrain miné où les bombes vont exploser à chaque pas, et il est fort à craindre qu’on veuille enfermer l’auteur dans la caricature : c’est bien connu, colère et violence, c’est tout un chez les anars.

Idée entretenue à l’envi par les médias, toutes tendances confondues et, de même, spontanément, par tout un chacun ; c’est un postulat : la violence est signée anarchiste ; l’anarchie, c’est le désordre ! On se complaît ainsi dans une image qui dévalorise ; et, quelquefois, les anars eux-mêmes en rajoutent… pour « effrayer le bourgeois ». « Ni Dieu ni maître ! » donne le frisson.

On pourrait d’ailleurs se poser la question de cette persistance à vouloir mettre en exergue les exemples de la violence anarchiste − certes avérés −, et à ignorer que la grande majorité des militants est plutôt pacifique. Ce pourrait ainsi être un intéressant sujet de recherche universitaire avec pour recommandation principale : «  Défaites-vous de vos idées toutes faites ! »

Il est cependant notoire que, en France, de 1892 à 1894, une période de « terrorisme anarchiste » se déploya alors, belle époque éclatante et bruyante, et qu’elle fit un certain nombre de morts avec, au final l’assassinat d’un président de la République. Des historiens analysèrent ces temps comme un aboutissement, prolongement du massacre des communards parisiens de 1871, puis celui de Fourmies en 1891. Ce fut un engrenage de vengeances suivant les répressions, au coup par coup…

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Ecrit par libertad, à 09:16 dans la rubrique "Pour comprendre".



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