Lu sur
Non fides : "Dans l’histoire, les crises
économiques ont fait naître toutes sortes d’hybrides qui, comme les
fascismes dans leurs différentes variantes, se joignent au banquet de la
politique avec l’idée que c’est « le moment », leur moment, et qu’il
est encore possible de sauver et de reconduire beaucoup d’aspects de ce
monde et de son système politique et économique, du capitalisme, de
l’Etat et de la démocratie. Pendant que les « méchants » politiciens
s’emploient à sauver les banques et le système financier, les bons
politiciens (ou ceux qui aspirent à le devenir) s’évertuent à sauver la
démocratie et le système partidaire.
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