Lu sur
Ecorev : "L’un des principaux obstacles au changement est le fatalisme. Or, ce
dernier est particulièrement prégnant en matière agricole, et fortement
encouragé par les acteurs de l’agro-industrie. En toute bonne foi, de
nombreux agriculteurs et consommateurs sont persuadés que le système
technique et économique actuel est "le seul possible". Pour entretenir
cette résignation, l’appareil agro-industriel s’acharne à promouvoir le
mythe d’une agriculture biologique marginale et incapable de nourrir
l’humanité : il faut à tout prix nier l’existence d’alternatives.
Pourtant, les solutions basées sur les savoirs paysans, l’adaptation au
milieu naturel et les techniques agro-écologiques ouvrent des
perspectives d’autant plus encourageantes qu’elles sont particulièrement
efficaces dans les régions les plus pauvres et les plus peuplées de la
planète.
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