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Marianne 2 : "Considérée au temps du japon féodal comme une minorité d'intouchables employés dans les métiers impurs, la communauté burakumin compte près de 3 millions de personnes. Si toute discrimination officielle a disparu, des discriminations sociales, familiales ou professionnelles subsistent. Les sous-traitants de l'industrie nucléaire ont largement employé des burakumin pour les tâches les plus exposées à la radio-activité. Une pratique qui semble perdurer à Fukushima.
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