Lu sur
L'Humanité : "Les
mots "bruts" de la jeune femme, alliés à son analyse fine des
situations donnent à lire la réalité de la détention et de l’atteinte à
la dignité des personne qu’induit ses conditions. Dans cette première
partie, Inayah* revient sur les premiers "chocs" liés au statut de
"prisonnière" et décrit avec précision le quotidien des détenues. Rédigé
à sa sortie, avec Laélia Véron, du GENEPI, à partir des notes de ses
carnets, ce témoignage est précieux. -
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