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lu sur linter : Le 16 octobre, c'était encore trop loin. Une ordonnance du juge a décidé de sa liberté!
Jean-Marc ne sortira pas demain.
Le danger était tel qu'il fallait immédiatement incarcérer.
Alors Jean-Marc ne sortira pas demain.
Et pourquoi? Pour des mots dont nous montrions hier dans notre article
qu'il n'étaient en rien différents de ceux dits lors des procédures qui ont conduit à la semi-liberté.
Et que donc il n'y avait en aucun cas rupture des conditions qui lui avaient été imposées.
Pourtant Jean-Marc ne sortira pas demain.
Alors pourquoi cette urgence à emprisonner.
Si ce n'est faire taire un homme.
Jean- Marc ne sortira pas demain.
Mais parce que nous savons que le prétexte juridique ne tient pas.
Nous sommes à ses côtés pour que le 16 octobre
Il retrouve la liberté!
Jean-Marc Rouillan. Les attendus de la décision d'emprisonnement.
Pour consulter le blog: linter.over-blog.com
Quand prendre contact avec les médias
devient trouble à l'ordre public
et motif d'emprisonnement.
"M. Rouillan a fait des déclarations à la presse qui ont profondément troublé l'ordre public, qu'un débat s'est installé sur le bien-fondé de cette interview, que pour éviter tout nouveau contact avec les médias et sans préjuger de la décision du tribunal d'application des peines, il convient de suspendre la mesure de semi-liberté", considère le JAP cité par l'avocat de M. Rouillan, Me Jean-Louis Chalanset qui qualifie cette décision de "disproportionnée".
On apprend ainsi que c'est parce qu'un débat s'est instauré et pour éviter les contacts avec les médias que Jean-Marc est resté aujourd'hui en prison.
Combien d'hommes sont emprisonnés en France pour un tel motif?
Et sommes-nous prêts à accepter une telle décision?
Le contenu de l'interview de Jean-Marc n'est pas "condamnable". Il suffit de la lire pour voir que c'est une prise de position politique nuancée bien loin de ce qui a été dit sur les principaux médias.
Encore faut-il la lire! Certains médias l'ont fait et ont su en rendre compte. Trop peu. Perdus dans le lynchage médiatique, les simplifications et pour certains le mensonge. Plus le média était de grande écoute, plus étaient déformés les propos.
Elle n'est pas "condamnable, il faut donc pour le pouvoir et la justice déformer les faits, emprisonner au plus vite, réduire au silence, ne pas laisser la parole de Jean-Marc s'exprimer, car alors tous ceux qui le liront pourront voir qu'il est bien loin de celui pour lequel on veut le faire passer et que ses propos ne sont pas ceux qu'on lui prête.
Qu'il a une pensée, une réflexion.
Que chacun avant le 16 octobre relise l'interview et prenne conscience que le motif de l'emprisonnement ne tient pas et que la liberté d'un homme est entre leurs mains.