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Ignacio Ramonet, un patron de presse comme un autre
Comme tout patron de presse qui se respecte, c’est au tour d’Ignacio Ramonet de se saisir de l’éditorial de janvier 2007 de son journal mensuel Le Monde Diplomatique,pour alarmer ses lecteurs autour du thème récurrent de « la presse qui va mal ».

Par Daniel Vivas.

Lire la suite sur le site de l'Homme moderne.
Ecrit par PatBo, à 15:32 dans la rubrique "Actualité".

Commentaires :

  satya
11-02-07
à 18:07

daniel vivas, c'est le frère de maxime???
Répondre à ce commentaire

  Anonyme
13-02-07
à 13:19

le problème avec la propagande actuelle, c'est que l'impossibilité de tout discours radical d'apparaître fait oublier à la population l'existence même de ce type d'idées radicales. Or l'imaginaire radical, lui, ne cessra jamais d'exister (sauf quand les nanotechnologies seront venues à bout de l'humain. On y travaille en ce moment même à Minatec). Par conséquent, il me semble que cette configuration dirige la population vers l'extrémisme, à défaut de radicalisme, en une sorte de pulsion destructrice qui allie la haine de soi autant que la haine des victimes présentes ou à venir. Les Ramonet et autres Val ne sont pas des problèmes à régler, ils occupent une niche du marché de l'offre et de la demande d'idées, la niche "de gauche", conformément au role de valet de la bourgeoisie que les journalistes ont toujours eu. Pendant que les journaux occupent les esprits en débats, l'action, elle, est totalement controlée et fonctionnalisée par le salariat et le professionnalisme, bref, par la bourgeoisie.
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  Anonyme
14-02-07
à 05:27

Re:

Tu resumes bien tout camarade.
Les esprits restent dans le brouillard...
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