Lu sur
Alexandre Marius Jacob, l'honnête cambrioleur : "La
presse écrite a largement contribué à véhiculer une image déformée
d’Alexandre Jacob. Elle n’est pas le seul support médiatique à s’être
emparé d’un personnage qui a peu à peu investi le champ culturel. En
1983, le scénariste Etienne Serval écrit à Robert Passas, ami de
l’honnête cambrioleur, pour lui faire part d’un projet de téléfilm. Il a
obtenu ses coordonnées par le biais de May Picqueray. Mais la chaîne de
télévision TF1 rejette un sujet estimé «
merveilleux … mais trop cher »
[1].
Du héros d’un roman vrai, nous passons facilement au personnage de
fiction, au héros d’un vrai roman. Car la vie d’Alexandre Jacob autorise
la multiplication des scénarios, des histoires à rebondissements ;
permet de tourner dans de multiples décors ; accroît de manière
conséquente le nombre de personnages secondaires.
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