Lu sur Conspiracy watch : "Tremblements de terre, tempêtes, raz-de-marée,… Depuis quelques
années, ils sont de plus en plus nombreux sur la Toile à attribuer
l'origine de ces catastrophes naturelles à un programme de recherche
américain : HAARP. Qu'y a-t-il vraiment derrière cet acronyme de cinq
lettres ? Qui sont ses détracteurs ? Et comment le Parlement européen en
est-il arrivé à se faire l'échos des thèses les plus extrémistes sur
HAARP ?
Installé à Gakona, en Alaska, le
High Frequency Active Auroral Research Program
(HAARP) est co-géré par l'Université de l'Alaska et placé sous
l'autorité conjointe de l'US Air Force et de l'US Navy. Construit en
1990, ses 180 antennes recouvrent 14 hectares. Elles permettent
d’étudier les propriétés de l’ionosphère, la couche supérieure de
l'atmosphère. Les travaux qui y sont menés relèvent de la recherche
fondamentale mais pourraient avoir des finalités pratiques dans le
domaine des télécommunications. Les chercheurs qui travaillent sur la
station sont des scientifiques ou des étudiants venant de diverses
universités américaines et étrangères. Par ailleurs, tous les deux ans,
HAARP est ouvert au public pour une journée. Il existe enfin une
demi-douzaine d’autres stations de ce type à travers le monde, en
Russie, en Norvège, au Pérou ou au Tadjikistan. Pour les amateurs de
théories du complot en revanche, HAARP est bien plus que cela.
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