Lu sur CIP-IDF : "Aujourd’hui c’est un jour de colère et de profonde tristesse.
Dans la nuit du vendredi 21 au samedi 22 mars il n’y a pas eu de
« négociations ». Comme d’habitude l’affaire a été pliée à 1h du matin
sur un accord inacceptable. Les conditions mêmes de ces « négociations »
sont scandaleuses. Les « partenaires sociaux » ne nous représentent pas
(les chômeurs ne sont pas représentés et il n’y a jamais eu 50% de
patrons en France).
Le Medef y est tout puissant : tout se passe dans son siège parisien et les seules propositions discutées sont les siennes.
En fait de négociations, ce ne sont qu’interruptions interminables de
séance leur permettant des conciliabules de couloirs et des arrangements
bilatéraux hors de la salle, acceptés par tous les syndicats, à
l’exception de la CGT, restée, elle, à la table des négociations sans
voir personne ! Hier, vendredi, les négociations communes n’auront duré,
au final, qu’un quart d’heure !
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