Lu sur
Acrimed : "Plus de 10 ans après sa première publication,
notre « lexique pour temps de grèves et de manifestations »
est plus que jamais d’actualité. « Prises d’otage », « galère des
usagers », « grogne syndicale », etc. La grève des cheminots, entamée
mardi soir, signe le grand retour de la langue automatique d’un
journalisme officiel plus ou moins ouvertement hostile aux mouvements
sociaux.
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