Lu sur
Indymédia Grenoble :
"Au lendemain du 7 février, première grosse journée de mobilisation contre le Contrat Première Embauche,
Libération parlait de "coup de semonce" et
Le Figaro d'"échec". Le
Dauphiné Libéré,lui, se chargeait de la propagande dominante locale mais s'étonnait tout de même de la mobilisation grenobloise (selon le Daubé, 10 000 personnes dans la rue et les orgas débordées par des étudiant-e-s et
des lycéen-ne-s en fin de manif, quatre interpellations). En fait, le mouvement contre le CPE
prenait sérieusement forme.
Récits de la
manifestation du jeudi 16 février :
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2
Blocage de l'UPMF
les 15 et 16 février.
Récits de la
manifestation du 14 février à Grenoble :
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3
Photos,
vidéo et récits de la
manif du 7 :
1 |
2 |
3.
Les manifs du 7 février ailleurs: à Nancy (
1,
2 et
3), à Rennes (
1 et
2), dans le
Nord, à
Marseille, à
Tours, à
Lyon, à
Roanne. Le
décompte numérique selon la CGT (et la police, elle dit quoi ?).
Sur les raisons de refuser le CPE:
“
CPE, Anti-CPE... La carotte EST le bâton !” par la fraction
Récréation Permanente, “
Le Contrat Première Embauche : le Contrat No Futur pour la jeunesse ” par la
CNT-F, “
Retrait du projet de loi Villepin !” par
Révolution Socialiste, le
communiqué de presse du collectif des organisations de jeunesse appelant à manifester le 7 février, un texte de lycéen-ne-s de
Vizille.
Lire aussi “
Informations sur la fac de Stendhal et sur le CPE”, “
L'UPMF au service de Big Brother”, les
forums grenoblois des lycéen-ne-s et des étudiant-e-s contre le CPE, une "fiche pratique" de l'UNEF sur
ses méthodes de mobilisation, les textes du mouvement des chômeurs de
l'assemblée de Jussieu en 1998, la brochure
Manifeste contre le travail, plusieurs textes sur infokiosques.net sur les thèmes
"Education et système scolaire"....
