Lu sur
greek crisis : "Athènes temps gris et temps fort. Les camarades de Nikos Romanos, jeunes
comme lui étaient encore là, devant les grilles de l’hôpital. La
nouvelle venait tout juste de tomber. Le “gouvernement” du lugubre
Samaras a reculé face à la mobilisation, la leur et la nôtre, et face à
sa propre absurdité politique peut-être. Un amendement de la dernière
minute faisant suite à la proposition des partis de l’opposition et donc
il accorde le droit... bafoué à Níkos Romanós. Lui, tout comme les
autres détenus pourront alors étudier. Depuis ce matin, il avait aussi
refusé de boire. Il interrompt alors sa grève de la faim. Soulagement et
alors dignité. Il était grand temps.
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