Lu sur
le blogue du collectif Emma Goldman : "La Grèce est aux prises depuis
plusieurs années avec une grave crise économique et politique. Des politiciens
corrompus à une récession sans fin, le pays semble plongé dans une situation
pré-révolutionnaire. Le gouvernement n’a plus aucun pouvoir et est à genoux
devant la Troïka (Fond Monétaire International, Banque centrale européenne et
l’Union Européenne) alors que la police appuie de plus en plus le parti
néo-nazi Aube Dorée. En effet, il est troublant d'apprendre que lors des
dernières élections du 6 mai 2012, plus de la moitié des policiers auraient
voté pour le parti fasciste
[1].
Devant le chômage, la destruction des filets sociaux, la privatisation toujours
grandissante des entreprises d’État et encore plus, la population a décidé de
s’organiser sur ses propres bases. C’est ainsi que sont apparus de nombreuses
assemblées de quartier, des cuisines populaires, des squats, des occupations,
etc.
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