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La Tribune : "En agissant avec prudence et détermination, Alexis Tsipras a su
contourner la stratégie du "noeud coulant" des Européens. Désormais, la
pression est de nouveau sur Angela Merkel.
Et si, désormais, la pression dans l'affaire grecque s'exerçait surtout
sur les... Européens ? A mesure que l'on se rapproche de la date
cruciale du 9 avril, où l'Etat grec devra débourser 458 millions d'euros
au FMI, on assiste en effet à un remarquable retournement.
Progressivement, le gouvernement grec, en ayant su ne pas céder sous la
pression de ses créanciers, retrouve une position de force qui est
celle, naturelle dans les négociations de ce type, du débiteur face à
son créancier et où ce dernier doit accepter les conditions du premier
ou risquer de tout perdre.
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